Frédérik Kondratowicz – Restaurant de l'Hôtel de Ville
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EXPOSITION DES PEINTURES DE FABIEN

Exposition

Bonjour à vous tous, l’hiver est bien là!

Heureux de vous retrouvez et de vous présenter très bientôt (mars 2015)

Fabien artiste peintre de nos contrées.

L’amour, l’humain, la recherche perpétuelle d’un chemin, parsemé d’objets et de lieux communs, orienté par des valeurs et des symboles éternels et rassurants.

Découvrir la peinture de Fabien c’est nous plonger dans un univers d’une intensité rare, des volumes et des compositions bouleversantes d’émotion.

Laissons nous envahir par la poésie des oeuvres de Fabien.

Frederik Kondratowicz

EXPOSITION DE PEINTURE

Du 3 mars 2015 au 2 mai 2015
FABIEN
Frédérik Kondratowicz & Fabien
ont le plaisir de vous inviter

au vernissage de l’exposition

www.restaurant-hotel-de-ville.ch

www.fabienpeintre.ch
Galerie-restaurant
HÔTEL DE VILLE
Samedi 7 mars dès 9h30 jusqu’à 11h30
Café-croissant en présence de l’artiste
Restaurant Hôtel de Ville – Grand Rue 6 -1700 Fribourg

 T. 026 321 23 67 –

Fabien et né à Montreux en 1972, dessine passionnément depuis la petite enfance. Il peint ses premières huiles à l’âge de 12 ans. Il fréquente l’Ecole des Beaux-Arts de Sion, suit des cours au Ceruleum à Lausanne.

Ses nombreuses visites au Louvre, au Musée d’Orsay, à Beaubourg ou à l’Ermitage l’ont constamment incité à approfondir ses recherches picturales. Il présente aujourd’hui une œuvre très aboutie et très riche.

Ce peintre suisse est marqué par les grands maîtres del’histoire de l’art, principalement par les avant-gardistes du début du XXe
siècle. L’influence des grands précurseurs de la fin du XIXe siècle, puis ceux
du XXe siècle, laissent certainement une empreinte dans son œuvre. Aujourd’hui,
après s’en être nourri, Fabien s’en est détaché pour créer un style tout à fait
personnel et percutant. Déjà présente chez des collectionneurs privés de
France, d’Angleterre, d’Allemagne, d’Espagne, des Etats-Unis et de Suisse,
l’œuvre de Fabien est en devenir.

« Dans ma peinture, les choses se font au cours des
palpitations colorées de mes humeurs.
A chaque battement de cil s’ouvrent de nouvelles
perspectives. Des visages en bouffées de nuages se prennent à rêver au-dessus
de mes pinceaux et viennent colorer nos grises habitudes.
J’aime ces moments rares et précieux devant mon
chevalet où réalité se confond avec peinture pour nous raconter une bribe de
nous-mêmes.
Mon travail est d’écarteler le sujet pour y
surprendre toutes les formes d’étonnement qui s’y retrouvent.
Je ne suis pas sur un chemin, je suis dans une
errance métissée de surprises, de parfums et de couleurs.
Je peins sans les réponses, mais avec les
questions. »

Le ciel et la
terre

Le charnel et l’infini.

L’homme comme fascination prépondérante, comme un questionnement
existentiel.

L’amour, le couple, dans toutes ses dimensions: celle sensuelle, charnelle,
mais en même temps spirituelle et lancé vers une même recherche, l’infini si
loin et si présent en même temps.

Le chemin, jamais tracé d’avance, jamais tout droit. L’homme perdu sur ce
chemin, dans une relation espace-temps mouvant, mais néanmoins toujours en
chemin, orienté uniquement par la lune, référence suprême à un parcours éternel
et sûr.

L’intensité de la chaire à travers les couleurs, parfois improbables dans
leur composition.

L’intensité dans les formes abondantes et sans proportions parfait, mais en
même temps si réalistes.

Il y a tout le ciel, avec sa promesse infinie et toute la terre avec son
désir infini.

Le chemin c’est la seule possibilité d’accomplissement, chemin qui se retrouve
dans la mouvance des imprévus.

Intensité des couleurs et des formes
qui suscitent des émotions intenses.

Un voyage du monde intérieur du peintre à toute personne qui se reconnaît
comme aussi toujours tiraillée entre cette matérialité et ce ciel; ciel qui en
même temps accueille et structure.

Une peinture de recherche de l’infini et du fini, de leur unité. Une
identité possible seulement grâce à cette relation constante, à ce dialogue
jamais connu d’avance.

Le couple, comme
un discours. Si unit et si seul, si mélangé et si différentié. Une seule chose
et en même temps chaque individualité si clairement unique et avec son
parcours. Un et deux, charnel et mystique, uni et seul. Voilà le défi.

Barbara
Fontana

Avril
2013

textes : Frédérik Kondratowicz  – photos : Julien Auzan – siteweb : Michael Caillet